Trop de fois réveillé en pleine par de trop nombreux souvenir, ces derniers temps je ne songe qu'à une chose. Enfin à une chose hormis mon boulot certes. Virer un Humain ? Certainement pas, vu les moyens dont je dispose je ne vais pas me séparer de ceux que j'ai acheté et qui pour la plus part me conviennent et sont aussi respectueux que des robots, juste parce que je vais en acheter un nouveau. Songeant un instant à la maison dans laquelle je vis, je suis interrompus par l'arrivé de Mawann qui débarrasse mon plateau de repas alors que je reste assis dans mes pensées. Andromak, puis-je vous poser une question ? Sortant de mes pensées un brin agacé je vois Lorolaï du coin de l’œil s'approcher et faire disparaitre la jeune Humaine avant de sourire navrée. En faite, c'est plutôt, une question générale monsieur... que va faire le... le nouvel arrivant comme tâche ? Pour savoir comment s'organiser... En effet vaut mieux entendre ça de la part de la vieille femme qui me sert depuis mon enfance que dela part de cette Humaine fraichement débarquer à la maison. Je l'aurais frappé juste pour avoir demandé. J'en sais rien, vous trouverez bien un truc pour l'occuper de temps à autres.. C'est vrai que niveau occupation, j'ai assez d'Humains à mon service mais lui.. c'est différent. Puis-je me permettre de vous demander la raison, exact, de cet achat soudain ? Fronçant les sourcils je prend ma veste regardant l'heure pour mon rendez-vous alors que je sourie avec froideur à celle qui pourrait être qualifier de "gouvernante" dans cette maison envers les Humains. Je ne pense pas que tu veux te le permettre, surtout face aux conséquences qui en résulteraient. Je répond avec calme et supériorité, alors que je prend mon téléphone, elle hoche la tête avec respect, battant en retrait. Alors que je descend en faisant venir ma voiture, virant violemment mon voiturier trop lent à mon gout, en prenant sa place alors que je me rend à ma destination.

Human for sale. Souvent franchit pour diverses raisons. Je passe donc les portes allant annoncer mon arriver alors que je patiente simplement. Stress ? Sérieusement je l'achète, je vois pas en quoi je serais stressé. Malgré les semaines passées à être obnubilé par lui, j'en reste pas moins nullement affecté par cet achat. En apparence. " Veuillez me suivre monsieur Klersen...", la jeune femme me sourit habituer vu le nombre que j'ai acheté. Jamais revendu, faut dire qu'il n'y a pas eut beaucoup de Rebelle dont j'ai du me débarrasser. Elle me laisse devant une porte connaissant le protocole, alors que je reste un moment songeur. Finissant par actionner la poignée et entrer en silence.
Il est là, se tournant lentement alors que dans son regard je sais très bien qu'il m'a reconnu. Un instant je me dis que dans un sens, j'en suis ravis. Ayant été tellement de jour à me souvenir de ce soir là. Le laissant restant un instant, je finis par aller m'asseoir sur une des chaises, avec aisance. Je ne sais pas si tu as conscience de l'ampleur de la tâche qu'a été de persuader tes propriétaire à te vendre.. Pas bonjour, ni rien. C'est un Humain, certes, un Humain obsédant, perturbant, attirant, mais un Humain. Et j'ai toujours fonctionner comme ça...

Je ne savais pas qui m'avais acheté jusqu'à ce que je le vois entrer dans la pièce. Il m'avait aidé, alors qu'un homme s'en était pris à moi en pleine rue, je ne sais pas trop pourquoi il m'avait aidé. Et encore moins pourquoi il voulait m'acheté, j'avais entendu un peu parler de lui, on disait qu'il était dur, parfois violent avec ses Humains, qu'il en avait plusieurs, alors pourquoi m'acheter ? Et vu ce que je venais d'attendre, pourquoi avoir tant insister auprès de mes propriétaires pour me ventre. Je ne comprenais rien, on avait parler juste un instant, à peine, je l'avais remercier, je m'étais présenté, mais sinon rien, j'avais sut son nom et j'avais du partir. Donc, si j'étais ici c'était par sa faute, il avait forcé l'autre famille à me vendre, je n'avais donc rien fait de mal, enfin je crois, peut-être qu'il voulait m'acheter pour une raison précise. J'étais loin de penser que je pouvais être obsédant pour lui, je dois avouer que j'avais beaucoup pensé à lui par la suite. C'est d'ailleurs pourquoi j'avais chercher à me renseigner sur lui, même si j'avais eu peu d'information. Mais je savais qu'il était dur, donc j'allais faire de mon mieux pour le satisfaire, je n'avais aucune idée de pourquoi il me voulait, ce que je pourrais faire pour lui. Il s'était assis sur l'une des chaises présente, je ne savais pas trop si je pouvais, mais je décidais de m'asseoir aussi, face à celui-ci. Il était bel homme, mais les rumeurs sur lui faisait que je me méfiais, même si la première fois que je lui avais parler il avait été plutôt gentil, enfin il n'avait pas été violent ni rien. J'étais intimidé par celui-ci, je ne savais pas trop si je pouvais parler, mais bon, j'avais une question qui me trottait dans la tête depuis qu'il était entré et je pris donc parole. « Pourquoi ?.. enfin pourquoi vous vouliez m'acheter ? » Voilà c'était posé, comme toujours le vouvoiement était de mise, je n'étais qu'un Humain, c'était la moindre des choses de le vouvoyer, sauf s'il souhaitait le contraire. Mais il était imposant, beau, mais il en restait pas moins intimidant alors je ne voulais rien faire pour me le mettre à dos. J'entendis une réponse, enfin s'il souhaitait m'en donner une, après tout il avait le droit de refuser, il ne me devait rien, c'était plutôt moi qui avait une dette envers lui pour la fois où il m'était venu en tête. Cette nuit-là je ne pourrais pas l'oublier, j'avais eu du mal à fermer les yeux, son visage ne cessant de m'obséder. Je m'étais l'imagine dans ma chambre, mais j'avais fini par chasser ses idées stupides et irréaliste de ma tête pour essayer de fermer les yeux.

Que comptait-il me faire faire, du ménage? L'accompagner, être son assistant ? Il y avait sûrement plus compétent que moi pour jouer les assistants, faire la cuisine peut-être? Je savais cuisiner, je savais que certains était acheter comme jouets sexuels, c'était mon cas? Est-ce qu'il venait de m'acheter pour ça ? J'avais la tête baisse, regardant le sol alors que j'étais perdu dans mes pensées. Je redressa la tête pour croiser le regard de celui-ci, seulement un petit instant, je sentis un frisson me parcourir le dos, mais j'en laissais rien paraitre, c'était pas la peur la cause de ce frisson...

La dernière fois, et la seule fois d'ailleurs, où je l'avais vu c'était en pleine nuit. Une seule fois, brièvement, pas de quoi faire une histoire. Généralement un Humain ne croisait pas vraiment mon chemin, ils s'abstenaient. Mais là ça avait pas été vraiment ça... Pourquoi avoir arrêté ce mec ? Sérieusement ? Aucune idée, sur le coup sans doute un de ces stupides flash back perturbant. Ce Noah, là sans répliquer pendant que l'autre se défoulait... au début peut-être juste ça.
Aujourd'hui les lumières de la salle cette fois-ci sont différentes, de jour je peux mieux le voir. Bien que vu le nombre impressionnant de recherches que j'ai fais... disons que je l'ai déjà plus que fixer, sur la photo accompagnant l'offre de ventre. J'ai même pas cherché ses antécédents, où si la famille dans laquelle il avait été , était bien, près tous, je leur avais presque "volé". Aucuns remords ? Aucune, je vous rassure. Égoïstement, tel un enfant je me suis laissé simplement aller à mon dernier caprice. Dernier ? C'est pas comme si j'en avais souvent... pas des comme ça. Pas de ce genre. Pas pour... des personnes. Anyway, dès l'instant où il a quitté le trottoir où je l'ai croisé,dès l'instant où je me suis réveillé dans ma chambre, non pas par un souvenir venu me hanté, mais juste en pensant à lui... je l'ai voulu. Et c'est quasiment chose faite.

Je l'observe donc me dévisager un moment, sans éprouver aucune gêne. Le regardant s'asseoir avec l'impression de me retrouver dans une des salles où mes humains sont amené quand je dois leur parler pour les remettre dans le droit chemin. Pourquoi ?.. enfin pourquoi vous vouliez m'acheter ? Je le laisse parler, pour une fois. En même temps les fois où je suis venu acquérir des Humains, je suis juste venu les chercher et basta. Face à sa question, je sourie confiant, supérieur, presque amusé. Il me fascine, et pourtant je ne perds pas du tout mes habitudes, mon caractère... Pourquoi pas ? Je le regarde avec un regard interrogateur, face à la simplicité que cette réponse de ma part pourrait clore le débat. C'est moi qui décide, même ici, alors qu'il n'est pas "totalement à moi" encore, j'en reste pas moins supérieur à lui... Je l'observe, sa manière polie de rester à sa place, l'observant un moment alors qu'il fixe le sol. Je sais que je vais le regretter. L'acheter, c'est comme inviter le diable chez soit, amener la tentation au plus près. Et alors ? Le voyant relever brièvement le regard avant de le baisser, et ça me décide à parler de nouveau. Pourquoi avoir voulus t'acheter ? J'ai quelques Humains c'est vrai qui réussissent assez bien à répondre à mes besoins... mais vois-tu..Croisant mes jambes en posant ma chevilles sur mon genoux, je poses mains mains jointe dessus avec décontraction. Tu m'intrigues. Je dois dire que je suis rarement intrigué. ... La dernière fois qu'une personne a éveillé ma curiosité... ça ma hanté pendant des semaines, puis je l'ai attrapé, remis dans le droit chemin et ça m'a offert la rénovation complète de mon salon. Pas vraiment le même genre tu vois. Tu n'es pas un rebelle, donc il ne devrais pas avoir de raison ... de cet intérêt que tu provoques. Alors.. oui, je suis intrigué. Voila pourquoi je t'achète. Je répond avec un sourire satisfait. Ne l'ayant absolument pas quitté une seule fois du regard en lui expliquant cela. Nullement gêné par cet aveux, qui pourtant ne résume pas intégralement l'étendu de cette attirance qu'il éveille en moi. Je reste silencieux, le laissant digérer cette réponse.

Restant calme, pour une fois je ne perd pas vraiment patience. N'appréciant pas pour autant cette pièce trop vide, trop stérile de vie, trop... je ne sais pas. Ressemblance avec une salle d'attente bonjour, bon en même temps c'est un peu ça... Continuant de fixer Noah, avec la nonchalance qui m'est devenue une réelle habitude de caractère, je reste silencieux le voyant réfléchir un peu. Alors ainsi les Humains réfléchissent... Funny. Non je blague, évidement que je connais les Humains, je les connais que trop bien, pour pouvoir les récupérer, les punir et les reformater à obéir comme ils l'ont stipuler et accepter dans leur contrat. Un instant je me demande si Noah à au fond une âme de Rebelle. Passant un moment à méditer la dessus, je me rend compte que je n'avais pas songer à cela. Espérons que non, parce que fascination ou non, attirance ou pas il me faudra bien le remettre dans le droit chemin s'il s'écarte. Et un instant cette "option" me répugne. Et c'est justement cette répugnance qui me stupéfait. Cette volonté de ne pas avoir à la frapper. Assez contradictoire pour un dompteur. En même temps je ne prend pas vraiment de plaisir à frapper ces Rebelle, enfin pas tellement, mais c'est la vie, faut bien que certains se charge du sale boulot si les autres veulent continuer de vivre dans leur monde parfait...

Pourtant... j'ai rien de spécial, je suis tout ce qu'il y a de plus... normal, un Humain.. Un instant son manque de "confiance" me surprend légèrement. Ok les Humains ne sont que de simple "animaux de compagnie amélioré", mais de la à n'avoir aucune personnalité, peut-être pas quand même. Le fixant un moment, je le vois lever le regard et me fixer à son tour. Parfait, il n'y a que des Humains normaux à mon domicile, tu devrais te sentir à l'aise. Je réplique avec sarcasme un sourire froid aux lèvres. Oui, tous normaux, je ne les ai pas choisis pour leur beauté... peut-être Enniss, ou Mawann ok.. mais les autres, ils m'étaient utile voila tous, alors totalement normaux... mais tellement inférieur à se que ce Noah peut réveiller en moi. Le regardant, je me rend compte compte qu'instinctivement, ma froideur reprend le dessus par moment. Je reste donc silencieux finissant par délier mes mains et poser mon coude sur mon genoux plier, posant mon menton dans ma main en fronçant les sourcils. Tu vas vite apprendre que je déteste qu'on me pose des questions et que chez moi très peu y sont autorisés. Mais... vu que je vais t'acheter par simple coup de tête... je suppose que pour le moment je peux tolérer de répondre à certaines des tiennes. Si ça c'est pas de l'effort pour être un peu plus gentil, hein ?! Bon ok pas vraiment, mais la réalité est que je veux savoir se qu'il pense, j'ai envie de connaître ses pensées, ses questions... tous. Tu as l'air... préoccupé. Rappels toi, je suis un dompteur, je suis payé des milliers pour connaître tes semblables par coeur... alors vas-y demandes moi, se que tu veux. Je répond avec un sourire presque sympathique. Presque.

J'avais l'impression de le déranger, mais en même temps je me demandais ce qu'il voulait de moi, il m'affirmait avoir plein d'Humains normaux chez lui. Alors pourquoi avoir besoin de moi. Il m'affirmait détesté qu'on lui pose des questions, alors voilà, je faisais déjà des conneries, je me le mettait déjà à dos. À lui poser des questions, je sentais que ça n'allait pas être facile, comme mon premier propriétaire qui me frappais, je me demandais si lui allait me frapper. Peut-être, j'allais devoir endurer, faire ce qu'il me demandait. Puisque j'étais à lui, il m'avait acheter. Comme il venait de le dire, il m'autorisa par contre à lui poser des questions, me rappelant qu'il était un dompteur. Un être que je devrais craindre, puisque je suis un Humain, les dompteurs sont chargés de nous remettre sur le droit chemin, pourtant je suis obéissant, enfin d'après moi. Je ne savais pas quoi lui demander, en faite, si j'avais toute sorte de questions, mais après ce qu'il venait de me dire, je me sentais mal de lui poser des questions. Même s'il m'avait dit que je pouvais lui en poser. Je posais une question, qui d'après moi ne devrait pas trop le déranger : « Pourquoi vous avez besoin de moi ? Si vous avez déjà plusieurs Humains... » Peut-être qu'il me voulait pour satisfaire autre chose, après ce qu'il avait dit peut-être qu'il me voulait pour que je m'occupes de lui. Bon vous avez compris, peut-être qu'il me voulait comme esclave sexuel, comme j'en avais entendu parler, c'était bien possible après tout. Mais peut-être qu'il m'avait besoin pour autre chose. J'entendis la porte s'ouvrir et releva les yeux vers celle-ci. « Désolé Monsieur Klersen, il va falloir que je vous demandes de libérer la salle, il y a un autre rendez-vous... » Je fus un peu surpris, c'est presque comme si on nous chassait, je suivis l'homme qui venait de m'acheter. J'attendis durant qu'il signait les papiers afin de m'acheter, de tout officialiser. Voilà c'était officiel on quittait le Human for sale, j'étais là lui. J'allais découvrir où j'allais habiter enfin façon de parler où j'allais travailler, ou j'allais le servir. Je ne savais pas trop comment j'allais m'attendre avec ces autres Humains, est-ce qu'il allait m'accepter ou m'en vouloir parce que j'étais nouveau que je leur "volais" une partie de leur travail. J'en savais rien, mais j'espérais qu'il allait m'accepter un minimum, je ne voulais pas de problème. J'avais assez de marque sur le corps, sans en avoir besoin de plus. Mon corps avait des marques, surtout dans le dos, afin de ne pas déranger la vue lorsque l'on me regardait de face nu, c'était ainsi que fonctionnait l'homme qui m'avait acheter à sept ans à mes parents. Je montais à l'arrière de la voiture comme il me le demandait, durant le trajets j'étais silencieux, regardant par la fenêtre le paysage, osant jeter parfois quelque coups d'oeil à celui-ci, discrètement. Je ne savais pas trop ce que j'avais le droit de faire, il semblait si dur, sévère, voulant qu'on lui obéisse au doigt et à l'oeil. C'était normal après tout, il était un dompteur.. Je sortis de la voiture une fois arrivé, enfonçant la main dans mes poches regardant autour de moi, c'était sûr, il était riche.

Sa façon d'être sur ses gardes, sa manière de rester plus que polit, je sais que je le dois surtout à mon "rang". En effet, il parait qu'être acheté par un dompteur, est pire encore. Que sais-je ?! Je n'ai jamais eut l'imbécilité de me vendre en tant qu'Humain, une vie de servitude ? Non, ayant grandit avec ces Humains autour de moi. D'ailleurs je les ai tous revendu, tous ces Humains de cette maison que j'ai tant haïs et que je déteste encore. Je les ai tous vendu à l’exception de Lorolaï. Mon exception, par bien des égards. Si depuis tous le temps, je n'ai jamais hésiter le moins du monde à la traiter comme les autres, je n'ai jamais pu lever la main sur elle. Est-se par son âge plus vieux que le mien ? Où le fait de l'avoir vu depuis mon enfance ? Où alors son éternel sollicitude, son respecte t son travail qui n'ont jamais rien amener à m'énerver, strictement rien. Mais en dehors d'elle, dans la maison, tout le monde sait à quoi s'en tenir, n'ayant pas hésiter à lever plus d'une fois le ton et la main sur certains... Mais Noah, c'est différent... et avant même de l'avoir acheté j'ai conscience de cela. Pourquoi vous avez besoin de moi ? Si vous avez déjà plusieurs Humains... Sa seule question restant plus que pertinente, je sourie avec ce pouvoir que j'ai sur lui de pouvoir faire réellement se que je veux de lui. Je n'en ai pas la moindre idée.. Je répond avec presque sadisme sachant très bien à quel oint il peut se poser des questions.
La vérité est quoi même je l'ignore. Je pourrais vraiment faire se que je veux de lui, combien de citoyen ont acheté des Humains comme simple sex-toy ? Des centaines. C'est même pas illégal, c'est ça le pire. N'étant pas familier de cela, ayant pas le moindre mal à trouver des conquêtes sans avoir à payer, cependant... dernièrement, j'y ais beaucoup pensé. Rien que mon obsession pour lui m'amenant à me dire que je pouvais réellement le posséder, avoir se que je voulais. Perturbé dans mes pensées par une porte qui s'ouvre et la réceptionniste qui arrive, je relève la tête avant de hocher simplement celle-ci à sa phrase, redevenant vraiment l'homme froid et indifférent que je suis tout le temps. Je me lève donc sentant Noah me suivre, alors que je vais signer les quelques papiers, la jeune femmes me parlant de certains dossiers que son supérieur doit me donner pour mon boulot. Je lui affirme revenir assez rapidement pour m'occuper des ces "Humains en déroute" alors que je sors ensuite avec ma nouvelle acquisition. Rejoignant ma voiture je lui fais un signe de tête vers l'arrière, alors que je prend le volant reprenant la route de chez moi dans un silence de mort. Plus du fait que je sais pas vraiment de quoi parler. Andromak, zéro conversation, c'est une évidence depuis mon enfance.

M'arrêtant dans l'allée de la maison, je coupe le moteur en sortant jetant les clefs à l'Humain qui sort en se pressant pour venir rentrer ma voiture, plus vite que ça bordel ! Pas besoin de le dire à voix haute, mon simple regarde le fait se replier sur lui-même et se presser à entrer dedans pour la garer à l'intérieur alors que je jette un regard vers Noah. Le laissant un temps fixer se qui ressemble presque à une villa je finis par reprendre la parole. Pas besoin de te rappeler que c'est moi qui dirige tous. Mes paroles, sont des ordres, ton rôle est d'y répondre. Cependant en dehors de moi, tu devras aussi respecter ceux de Lorolaï. C'est une Humaine, oui, mais je pense ne pas tolérer un seul instant quelque chose qu'elle désapprouve. Elle est ici depuis plus longtemps, tu lui dois obéissance, la seule personne qui peut outre-passer les ordres de Lorolaï c'est moi, compris ? Je le regarde avec dureté, avant de lui faire signe de me suivre rentrant à l'intérieur avec lui, alors que Mawann arrive dans la pièce. Dit à Lorolaï de venir montrer la villa au nouveau. Et va me faire couler une douche, le temps que la salle de bain chauffe ! Je lui fais signe de dégager avant de jeter un regard vers Noah. On avance vers le salon alors que je le détaille du regard. Humain, mais beaucoup trop attirant, je lutte contre mes pensées alors que l'arrivé de la vieille femme me permet d'oublier l'envie de vraiment l'utiliser à des fins sexuelles. Secouant la tête pour me reprendre je profite que ma "gouvernante" sois là pour clarifier les choses. Lorolaï t’amèneras plus tard dans la semaine t'acheter de quoi te vêtir, j'ai la gentillesse de tolérer que mes Humains s'habillent de la manière qu'ils le souhaitent, il en va de même pour toi. Fais lui une visite des lieux, montre lui sa chambre... Et Noah, pour le moment vu qu'il n'y a pas grand chose comme tâche à faire... occupes toi comme tu le désirs, pour le moment tu es libre. Devant le regard surprit de la vieille femme, je leur fais signe de dégager alors que je les suis hors du salon virant mon tee-shirt en montant à la salle de bain me laver. Au moins, l'ayant dit devant Lorolaï, elle sait qu'elle n'a rien à lui ordonner de faire. Libre ? Libre de faire se qu'il veut, sérieusement... en une seule petite heure, je viens de dérailler totalement.

Je ne savais pas trop quoi faire, j'avais pas l'habitude d'être "libre" de mes mouvements, j'étais habitué que ma journée soit remplis, que j'aille tel ou tel choses à faire. Lorsque je le vis, je ne voyais pas trop ce que je pouvais dire, j'avais préférer tourner les talons pour plutôt me rendre ailleurs, mais sa voix m'arrêta dans mes mouvements, je me retournais pour le regarder et il me montra sa chambre afin que j'aille lui sortir des vêtements. Je me dirigeai donc vers la chambre de celui-ci, il avait une belle chambre, je me dirigea vers le dressing de celui-ci, alors que je le vis laisser tomber sa serviette pour mettre un boxer. Il était vraiment beau, je m'imaginerais bien me laisser faire par celui-ci, le laisser coucher avec moi, je détournai mon regard avant qu'il ne le remarque. Je pris un pantalon noir propre, ainsi qu'une chemise. Je ne savais pas si ça serait correct pour lui, je sortis du dressing avec les vêtements et les déposai sur le lit. « Est-ce que ça vous vas.. ? » Je devais arrêter de le regarder sinon j'allais commencer à bander et je ne voulais sûrement pas m'humilier et qu'il voit qu'il m'intéressait. Si c'était le cas, il se moquerait sûrement de moi, je ne vois pas pourquoi il ne le ferais pas. Ça semble être son genre, donc, hors de questions de lui montrer. Mais être seul, ainsi dans sa chambre, la porte fermer, je n'avais juste envie que d'une chose. J'enfonçai mes mains dans sa poche et lui demanda : « Avez-vous besoin de quelque chose d'autres ? Que je fasse autre chose pour vous ? » Je savais qu'il n'aimait pas les questions, mais bon, tant qu'à rester là immobile à le regarder alors qu'il est à moitié nu autant lui demander ce qu'il voulait que je fasse, même si j'étais censé être libre en ce moment. Mais bon, je ne faisais pas d'études, je jouais de la guitare, mais j'en avais pas donc ça réglais le problème. Je pourrais lire un livre, mais je n'en avais pas, je pourrais aller courir, mais je ne savais pas si j'avais le droit. Trop de questions sans réponse et il n'aimait pas les questions. Ça n'allait vraiment pas bien mes affaires...! En plus de le trouver séduisant alors qu'il était un dompteur, ce n'était pas ma journée...

Je ne comprenais pas trop cet effet, pourtant c'était pas la première fois que je voyais un homme nu ou une femme. Mais bon l'homme devant moi était plus musclé, séduisant et plus jeune que lui que je pouvais voir nu lorsque j'étais jeune et jusqu'à il y a quelques mois. D'un coup, je ne pu m'empêcher de me dire que j'aimerais bien qu'il m'est fait venir dans la chambre pour profiter de moi, mais j'en doutais, il y avait tellement d'Humains ici et vu son physique il ne devait pas avoir de mal à attirer des amants dans son lit.

Le fixant après lui avoir poser cette question, je vois à son regard son incompréhension. Où plutôt sa réflexion. A quoi pensait-il ? A ce moment sérieusement, envie de son corps ou non, j'aurais donné cher pour juste savoir à quoi il pensait, comment il pensait, comment il voyait les choses. Juste savoir. Assez étrange de vouloir connaître un humain, après tout ils ne sont là que pour nous servir, que pour faire se qu'on demande, et pour les conversations et le reste il y a les autres citoyens, non ? Bon il est vrai que n'étant pas totalement un citoyen à part entière, je ne suis pas du genre à me mêler facilement, et connaître les autres... que ce soit dompteur ou citoyen, je suis du genre à pas franchement être curieux de leur personne. J'ai grandis en apprenant à vivre et dépendre de moi même, les autres ne me servant à rien, hormis à mes dépends.
Cependant là, maintenant, j'avais une très nette envie de le découvrir, de savoir ses pensées, ses envies. Me perdant un instant dans cette envie et cette réflexion là, je le vois rester immobile, hésitant. Avant de lâcher ma chemise au sol. Sacrement risquer, parce que sérieusement cette chemise n'a rien à faire au sol ! M'apprêtant à vouloir lui dire, je le vois soulever lentement son tee-shirt attirant mon attention et m'intriguant légèrement alors que cependant mon regard reste sur la peau qu'il découvre peu à peu, le tissu quittant son corps pour le sol, je l'observe un instant.

J'ai rien demandé moi, c'est lui qu'il le fait. Ok c'est dégueulasse de dire ça ainsi ? Anyway, c'est moi qui le possède, je fais se que je veux après tout. Le voyant se mettre un genoux, je fronce un sourcils, juste... curieux de le voir ainsi faire ne retenant même pas sa main qui descend mon boxer le long de mes cuisses. Pourquoi l'arrêter ? J'en crève autant d'envie depuis des jours entiers, non ?!! Sentant ses mains faire, je le fixe sans parler, sans réellement réagir, le laissant juste... faire. Le sentant prendre mon sexe en bouche, je me mors cependant la lèvre, comprenant cependant lentement qu'il en est pas à sa première fois. Néanmoins appréciant bien trop sa langue sur cette partie de mon corps, je le laisse continuer ses gestes faisant naître une certes chaleurs et un afflux d'envie dans mon bas ventre alors que je finis par poser une main sur sa tête pour le faire continuer. Me contractant un peu à ses coups de langue, je soupire légèrement appréciant réellement le moment, et son geste. L'aurait-il fait si j'avais été son égal ? S'il s'était pas sentit obligé ? Bonne question, que je ne compte pas demander de suite, ayant envie de finir les choses correctement. Mes doigts glissant dans ses cheveux, je le fais aller un peu plus vite dans ses mouvements sentant mon sexe durcir de plus en plus entre ses lèvres et sa langue.

Il se débrouille bien. Pire que bien même, c'est plutôt étonnant d'ailleurs pour un jeune de son âge. De son âge, à peine mineur et déjà à genoux à faire une fellation... Alors que cette pensée étrangement me répugne, je le laisse faire. Je sais même pas pourquoi, au fond je voudrais pas vraiment qu'il fasse ça. Dix-neuf ans, sérieusement comment peut-on rester et le laisser faire. Et pourtant aussi ignoble que je suis, c'est ce putain de plaisir qui l'emporte sur la raison, alors que je le laisse continuer à me sucer, à peine deux heures en ma possession. L'ais-je acheté que pour ça ? Non. C'est clairement pas dans ce but là, j'y ais pensé, je peux le nier, mais c'était pas que pour ça. Pas pour ça. Juste ce besoin de l'avoir, de le posséder !
Ses lèvres et sa bouche venant à bout de ma résistance, le plaisir pur prend le dessus alors qu'il se recule même pas sur le coup, je peux le dire, prit de cours alors que je me vide.. dans sa bouche. No way ! C'est quoi ce môme ?! Stupéfait, j'en garde pas moins extérieurement un visage stoïque, le fixant sans parler, sans rien faire.

Le regardant en scrutant ses actions, je le laisse agir comme bon lui semble, restant silencieux, un peu plongé dans un tas de pensées en faite. Son geste pour ma chemise sur une chaise me fait vaguement sourire intérieurement, ok c'est pas un Rebelle, pas le moins du monde. Se qui me rassure dans un sens. Continuant de l'observer, je le vois revenir surprit. Nullement gêné d'avoir toujours mon boxer de baisser et, vulgairement parlant, la queue à l'air. Je déteste ce genre de langage d'ailleurs. Le voyant se baisser pour remonter mon boxer, son expression me surprend alors que je l'interromps cette fois-ci dans son geste me penchant pour remonter moi même le tissu lors que je prend son menton le forçant à se relever alors que je le lâche pas. Le tenant toujours par sous le menton pour juste le forcer à lever le visage vers moi, je fais un pas me rapprochant de lui en ne cillant pas une seule fois restant un temps silencieux. Réponds moi avec sincérité. Pourquoi as-tu fais ça ? Mon ton est implacable, froid, dur et pourtant au fond je veux juste savoir une chose. Par envie ?Où par soumission ?

J'en avais envie, oui, si j'y pense bien, pas parce que je lui appartenais, pas parce que je pensais qu'il voulait que je fasse ça, mais parce que je le voulais, mais c'était peut-être une erreur. Alors qu'il s'était laissé faire, je l'avais amener jusqu'au plaisir et il s'était totalement laisser faire. J'avais l'impression qu'il avait aimé, mais peut-être que je me trompais, il m'arrêta quand je m'étais pencher pour remonter son boxer et l'avait fait lui même. Alors là j'avais vraiment l'impression d'avoir fait une connerie, il me pris par le menton afin de me regarder. Ça voix était de nouveau froid, dur, j'avais l'impression que j'allais me ramasser un coup, à sa façon de me parler. Il voulait savoir pourquoi j'avais fait ça, il voulait que je sois sincère. Je le regarda un moment dans les yeux, des yeux dur je n'arrivais pas à voir s'il était fâché ou pas de ce que j'avais fait. « euh... parce que j'en avais envie.. et je pensais que vous m'aviez acheter.. pour ça. » Je le regarda un moment avant de baisser les yeux, mal à l'aise, honteux, j'avais en quelque sorte déjà été acheter pour ça même si je faisais plein d'autres choses. C'était beaucoup plus courant que l'on pourrait le penser. Je le regardai un moment avant de dire mal à l'aise et je voulais m'éloigner, afin de me sentir un peu plus à l'aise, remettre mon t-shirt, mais il ne me lâchait pas le menton. « Je suis désolé, Monsieur, j'aurais pas dû... je recommencerais pas.. sauf si vous me le dite... » J'étais proche de lui, ensemble on aurait formé une personne habillé, lui portait un chandail alors que moi je portais un jean. Enfin, c'était bizarre comme situation et même s'il était beaucoup plus vieux que moi, il n'en restait pas moins quelque d'attirant. Mais les jeunes, moi ne l'intéressait peut-être pas... Qu'est-ce qu'il allait faire, me frapper? Me dire de partir, de sortir de sa chambre ou encore peut-être me revendre, me ramener aux " magasin d'Humains ".

Attendant sa réponse, je ne le lâche pas le fixant jusqu'à obtenir se que je veux. C'est à dire qu'il parle, ok les bonnes manières, la méthode douce et le reste, faut dire que je pratique pas. Pas mon genre, pas le genre de la maison, pas mes habitudes. Il me fixe et finis par me répondre enfin. euh... parce que j'en avais envie.. et je pensais que vous m'aviez acheter.. pour ça. Ok, pas vraiment la réponse que je voulais, enfin mieux que rien. Il en avait envie ? Vraiment ? J'en sais rien... sans doute plus poussé par l'idée de me "faire plaisir" et par le fait que je l'ai acheté pour ça. Peut-être. Je n'aime pas cette manière de voir, j'aime pas ça. Et c'est assez étrange vu que d'habitude, ce pouvoir à la limite du "divin" sur les Humains, ça me plait. Mais bon... Je continue de le fixer essayant de savoir si oui ou non il me ment. Un seul Humain dans ma maison m'a un jour mentit, et j'ai du lui laisser un mois de "tranquillité" avant qu'il puisse se remettre à marcher pour me servir correctement. Autant dire que je supporte mal le mensonge. Le voyant baisser le regard, une partie de moi est satisfaite par sa docilité si facile et la manière dont il respecte son rang, une autre cependant est tiraillé dans cette satisfaction. Tu "pensais" que je t'ai acheté pour ce genre de chose... qui t'as autorisé à penser ? Je demande en arquant un sourcils avec supériorité. Agacé par cela, je le vois mal à l'aise. Je suis désolé, Monsieur, j'aurais pas dû... je recommencerais pas.. sauf si vous me le dite... Je le lâche finalement en l'observant. Restant un moment silencieux je le dévisage un bon bout de temps sa gêne se lisant parfaitement sur son visage. "sauf si je lui demande" cette phrase tourne dans ma tête alors que je le fixe un long moment, refaisant un pas vers lui ma main qui tenait son menton passe lentement sur son ventre remontant sur son torse. Sportif, je songe au fait que pour avoir autant de muscle il devait pas être débordé dans son ancien foyer, pour avoir le temps de se muscler ainsi. Mes doigts continuant de glisser sur sa peau avec lascivité je le fixe alors sérieusement. Je n'achète pas les Humains pour ce genre de service... j'en ai guère besoin... Restant proche de lui, je continue de le fixer mes doigts faisant le parcourt inverse, descendant vers son ventre.

Je ne savais plus quoi faire, j'avais envie de retourner dans le passé pour ne pas faire cette chose, ne jamais l'avoir sucer, même si j'avais aimé, maintenant j'étais dans la merde, il ne semblait pas content que j'ai fais cela, à sa façon de me regarder, de me parler, je doute qu'il ai vraiment apprécier. Enfin, même si je le fais qu'il ai joui montre le contraire. Voilà que maintenant je ne pouvais pas penser sans son autorisation, mais bon, ça il ne pouvait pas vraiment le vérifier non plus, mais j'avais baisser la tête n'osant plus le regarder, honteux. Surtout alors qu'il m'affirme n'acheter personne pour ça, qu'il n'avait pas besoin de ça. Je sentis sa main sur mon torse, parcourant mon corps, mon torse musclé. Oui j'avais eu du temps pour entretenir mon corps, mais le pervers à qui j'appartenais aimais les jeunes hommes en forme, séduisant, alors je devais m'assurer de faire du sport, faire de la musculation. Ce qui ne m'avait pas déranger. Un frisson ma parcouru quand je sentis sa main descendre le long de mon torse, se diriger vers le bas de mon ventre. Je ne comprenais plus rien, il voulait ou pas? Il ne faisait ça que pour se moquer de moi ou il voulait vraiment qu'il se passe quelque chose? J'en aurais bien envie, d'ailleurs je me rendis compte qu'une bosse s'était formé dans mon pantalon. La honte, s'il la remarquait, j'avais de plus en plus envie de me sauver en courant. Mais il ne me l'avait pas autoriser. « C'est pas ce que je voulais dire, Monsieur... » En aucun cas je pourrais penser qu'il a besoin de payer quelqu'un, acheter un Humain pour avoir une relation sexuelle. J'aimais par contre sentir sa main contre ma peau et j'attendis de voir ce qu'il voulait faire, me faire, que je fasse. Bon peut-être qu'il allait me demander de remettre mon t-shirt et sortir de sa chambre, bref, seul lorsqu'il ouvrira la bouche je le saurais, sa bouche, non fallait pas que je pense à ça, c'était irréaliste.

L'ambiance dans la chambre ayant tourné presque à la torture pour ce jeune Humain, l'ayant en à peine deux petites heures presque terrorisé. Le pire était que c'était pas mon attention, juste.. sans doute ma façon d'être, en plus de mon métier, qui semblait faire monter la pression quand j'agissais ainsi avec un Humain.
Restant face à lui, je le fixe sans cesse, en total maître de la situation. Mes doigts passant sur son corps, je le vois, et surtout le sens frissonner alors que j'essaye de deviner à quoi serait-ce dû. Il vient de me dire qu'il avait tout à l'heure eut lui-même envie, pour la fellation... Serait-ce vrai ? Ce frisson serait-il pourquoi pas quelques chose d'envieux ? ... Sérieusement s'il en avait vraiment envie... serait-ce vraiment mal de l'utiliser à ce genre de fins ? Réfléchissant à tout cela je ne décolle pas mes doigts de sa peau. Si je pouvais être vraiment sur et certains qu'il en ait envie, réellement pas par obligation, mais par réelle envie... En même temps les Humains ont-ils réellement des envies en dehors de satisfaire leur propriétaire ? Ca n'en devient pas de vraies envies, juste de la bonne éducation. Les rebelles eut, oui j'en suis au courant, leur envie de liberté, de penser par eux-même... mais, et si les Humains pouvaient avoir envies, et bien obéir... Ok je déraille. C'est pas ce que je voulais dire, Monsieur... Sa manière trop pole, tellement polie de me parler... est-se vraiment mal d'aimer autant la soumission ? Parce que son obsessionnelle attirance et son "éducation" me foutent sacrément envie. Je reste ainsi, revenant plus proche de lui alors que mes doigts glissent sur ses abdos si bien dessinés, mon visage proche du sien sans qu'il n'y ait de trace d'hésitations. Tu peux partir si tu veux... tu as le droit de sortir de cette chambre, la porte n'est pas fermée à clef. Et ce n'est absolument pas un ordre ou un devoir, de rester dans cette pièce.. Je reprend alors lentement, mon indexe butant sur le haut de son jean alors que je reste à ce niveau là, lui faisant clairement comprendre les enjeux de la chose, et aussi ses possibilités ainsi que le fait que je lui laisse la possibilité de ne rien faire, sans représailles sur sa personne. Plutôt clément je dois dire. Pas sur que je sois toujours aussi... courtois face à son corps.

Lui laissant la possibilité de partir, ma main reste là, mes doigts restant sur le bord de son jean alors que je continue de le fixer. Bordel c'est qu'un gosse, comment sérieusement je peux avoir envie de ça avec un môme. Ok il est majeur, mais il a genre... limite presque quinze ans de moins que moi. Néanmoins me posant cette question depuis des semaines, je décide encore une fois de la laisser de côté, restant scotché à son regard essayant de voir se à quoi il pense. J'ai envie de rester, Monsieur... pas parce que je suis à vous, mais parce que j'en ai vraiment envie.. Well, je peux décidément dire adieu au fait de vraiment vouloir résister à mes envies, si tout fois j'y avais vaguement songé. Il se rapproche de moi alors reste immobile, mon regard descendant le long de son corps fixant mes doigts sur son jean et sa fermeture éclair plus bas et se qui s'y passe en dessous. Clairement, je suis pas le seul à en avoir envie. Ok... Relevant le regard mon index fait sauté le bouton de l'ouverture de son jean quant à moi, ma main passe dans sa nuque le "forçant" à revenir encore plus près alors que je viens l'embrasser. Non navré, j'ai beau être le plus sadique et autre... je suis inlassablement accro aux lèvres des gens. Aucune raison précise, c'est juste... un besoin, pas de sexe sans ça et puis sérieusement... au point où j'en ai fantasmé sur ses lèvres !
Défaisant l'ouverture de son jean ma main s'invite à l'intérieur sans même attendre une quelconque réponse de sa part, il l'a dit lui même qu'il en avait envie. Alors maintenant, je m'en fiche carrément de savoir si oui ou non il fait ça par "obligation", bien trop lancé dans l'envie alors que je sourie avec satisfaction contre ses lèvres sentant son érection sous mes doigts. Réellement... je pouvais guère vouloir mieux comme premier jour avec cet Humain.



hs : met "hot" dans ton titre de rp, pour pas choqué les enfants... sait-on jamais

En peu de temps, je sens son jean tombé au sol. Bon débarras, je vais surement pas m'encombrer de ça. Le sentant répondre à mon baiser mes doigts glissent dans son dos caressant sa peau alors que mon autre main reste dans son boxer comprenant avec ravissement l'envergure de son envie, je commence à le caresser détachant un instant mes lèvres des siennes en levant les yeux au ciel. Ok je rêve ou coucher avec un Humain c'est comme dépuceler un ado ?! Oui, je plaide coupable, aucune patience. Lâchant son sexe en soupirant, je chope ses mains les posant sur le haut de mes fesses, lui faisant comprendre par un regard glacial, enfin aussi glacial que je peux parce que c'est pas tellement possible vu l'envie de lui que j'ai, que oui il peut me toucher parce que... merde j'ai envie de lui et non pas d'une poupée gonflable. Non c'est faux, je ne suis pas d'un naturel à m'énerver facilement voyons !

Le poussant vers le lit, songeant sérieusement qu'il devrait se sentir chanceux, parce que même mes conquêtes ont pas toutes ces chances de finir ici, je m débarrasse de mon cardigan en me détachant de lui. Le poussant pour s'allonger plus loin sur le lit, je passe au dessus de lui, mes lèvres se posant sur son ventre alors que je remonte sur son torse revenant chercher le contact de ses lèvres ma main revenant le masturber et reprendre là où j'en étais avant de lui faire comprendre qu'il doit se laisser aller. La tension montant lentement, je sens aussi l'afflux d'envie remonter dans mon bas ventre ! Ma main qui ne se trouve pas sur son sexe caresse sa peau, étonnamment ravis de découvrir ce contact contre celle-ci et cette sensation plutôt étrange mais bonne après autant de semaines à être frustré par de maudit rêves.